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Une journée qui ouvre la réflexion dans le sens de la convention des Nations-Unies sur le droit des personnes en situation de handicap. L'inclusion des personnes atteintes de déficience cognitive au sein d'une société addictogène comme la nôtre, soulève en effet un certain nombre de questions en termes de protection des personnes en situation de vulnérabilité. Les écrans (monde virtuel)  suscitent également la réflexion car s'ils comportent une possibilité d'inclusion sociale, ils impliquent certaines compétences numériques que tous n'ont pas, et comportent des risques d'usages excessifs auxquels il faut être sensibilisé. 

Les structures spécialisées dans le domaine des addictions n'ont souvent pas les outils adéquats pour mettre en oeuvre des mesures de prévention, de réduction des risques et d'accompagnement thérapeutique qui soit réellement adaptées aux personnes en situation de handicap. 

Des sujets qui seront approfondis lors de cette journée notamment grâce aux apports d'intervenants internationaux.

L'évènement s'adresse en particulier aux professionnels du domaine de la santé, du social et des addictions avec un objectif de renforcer les échanges interdisciplinaires.