Femmes et addictions

17.06.2013
A contrepied de nombreuses idées reçues, l'examen de la littérature ne laisse aucun doute sur le fait, d'une part, qu'il existe une différence entre les hommes et les femmes en termes de consommations psychotropes, mais que la physiologie, la surdétermination de certaines formes de souffrance psychiatrique et/ou certaines conditions de vie rendent les femmes plus vulnérables à l'usage problématique de psychotropes. D'autre part, les femmes ont à gagner à pouvoir bénéficier de réponses spécifiques tant dans le conseil, la prévention que dans le traitement.
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